Julien TASSY

Directeur du développement commercial

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Salut Julien, peux-tu te présenter ?

Salut, je m'appelle Julien Tassy. Mon parcours est atypique. Avec un pĂšre palĂ©ontologue et une mĂšre artiste, j’ai fait des Ă©tudes scientifiques puis une Ă©cole de photographie. AprĂšs mon diplĂŽme, j’ai montĂ© une boite avec un ami pour faire 10 ans d'entrepreneuriat.

Sur la fin de cette pĂ©riode, des grosses boĂźtes m’ont draguĂ© et je me suis laissĂ© sĂ©duire. J’ai travaillĂ© 2 ans chez Philip Morris puis 3 ans chez Doctolib comme top performer avant de rejoindre Locomotive.

Combien d’entreprises as-tu rencontrĂ©es avant de quitter Doctolib ?

Chez Doctolib, on Ă©tait trĂšs sollicitĂ© donc avant de choisir Locomotive, j'ai passĂ© 37 entretiens. Ce qui a dĂ©cidĂ© mon choix pour Locomotive, c'est la vision de l’équipe.

De ton point de vue, quelle est cette vision ? Peux-tu nous en parler ?

Ces derniĂšres annĂ©es, il y a Ă©normĂ©ment de start-ups ou scale-ups qui sont rentrĂ©es dans une politique du “Je lĂšve, je lĂšve, je lĂšve et on verra bien ce qui se passe”.

Chez Locomotive, c’est diffĂ©rent. Bien sĂ»r, on a fait une levĂ©e pour pouvoir exister, lancer le produit, mais notre but, c'est de faire un produit rentable parce qu’il apporte de la valeur. Sur les 38 que j’ai rencontrĂ©es, c'Ă©tait la seule boite rentable du lot, en plus d’un an d'entretiens !

C'est cette vision du business qui m'a convaincu de venir chez Locomotive. L’ambiance qui en dĂ©coule est bien plus saine.

Comment se sont passés tes premiers échanges avec l'équipe ?

Le premier contact a eu lieu avec les fondateurs. On a parlĂ© de la vision produit. Je n'ai pas tout compris de suite parce que le discours commercial Ă©tait assez jeune, mais j’ai vu le potentiel. J’ai rapidement vu que l’équipe Ă©tait trĂšs smart.

Ensuite, j’ai jugĂ© de l'ambiance. Quand tu penses Ă  rejoindre Locomotive, tu rencontres tout le monde. Il y a mĂȘme une phase d'immersion oĂč tu peux Ă©changer avec les Ă©quipes produit, sales, marketing, support, mĂȘme finance. C’est rare d’avoir accĂšs Ă  ça aussi tĂŽt dans les Ă©changes. Le fait que tout le monde soit bienveillant, que tout le monde, soit dans la mĂȘme optique, ça m’a plu.

J’ai compris qu’on voulait crĂ©er une boĂźte qui soit forte, mais aussi une boite oĂč il fait bon vivre. Ça peut faire un peu clichĂ© dit comme ça parce qu'on te vend cette histoire dans n'importe quelle startup. Sauf que chez Locomotive c'est vrai. Tu as une autonomie sur la façon dont tu fais ton travail, on te fait confiance.

Évidemment ça va dans les deux sens quand on te fait confiance, on attend que tu dĂ©livres. T’as une responsabilitĂ© et une libertĂ© plus importante qu’ailleurs. C’est ce que je recherchais.

Pour tout te dire, au dĂ©but, je n'y croyais mĂȘme pas. Je me disais mais “Ce n'est pas possible qu'on me fasse confiance comme ça
 Il va y avoir un problĂšme un moment
 Ça va me retomber dessus ?” et au final non. Ça fait plus d'un an maintenant que je suis chez Locomotive et j’ai appris que c’était la norme ici. En plus c’est ça qui drive la croissance. Je n’y aurais pas cru de l’extĂ©rieur.

Et donc aprĂšs plus un an passĂ© chez Locomotive, y a-t-il d’autres choses qui t’ont surprise au-delĂ  de cette question culturelle ?

Une chose qui me fascine chez Locomotive, c'est la qualitĂ© du produit. C'est la seule boĂźte, et ça fait maintenant presque un an et demi que je suis lĂ , oĂč je n'ai jamais eu de dĂ©part d’un client qualifiĂ© installĂ©. C’est quand mĂȘme exceptionnel !

C'est-Ă -dire que tu dĂ©livres de la valeur, et ça, en tant que commercial, c'est ultra-satisfaisant. De te dire que si tu fais une vente, si tu promets au client qu'il va obtenir quelque chose, alors il l'obtient vraiment. Du coup, il est super content, ça te permet de faire des ventes d'expansion, d'avoir de la recommandation de sa part. C’est super agrĂ©able de bosser ainsi.

Ça ne m'Ă©tait jamais arrivĂ©, que ce soit chez Doctolib ou chez Philip Morris. Les gens te disaient toujours “Oui, mais il y a ça ou ça qui ne va pas
 ”. Depuis que je suis chez Locomotive, c’est l’inverse. Mes clients me rappellent 3 semaines aprĂšs le lancement en me disant “Julien, c'est gĂ©nial, il faut qu’on avance ! Je veux dĂ©ployer mes autres points de ventes”.

Ça me rend fier. En tant que sales, j’ai toujours mis un point d’honneur à croire au produit que je vends. Et chez Locomotive, j'ai 100% confiance ! En 3 semaines d’usage, les clients se remboursent, gagnent de l’argent et du coup, ils en veulent plus.

Est-ce que tu peux nous parler de ce que tu as apportĂ© Ă  l’équipe ? Cela peut intĂ©resser des gens qui souhaitent apprendre et atteindre l’excellence en vente.

Ça fait 15 ans que je vends des produits variĂ©s. J’ai toujours Ă©tĂ© top performer avec parfois jusqu’à 4 Ă  5 fois les quotas en sur-performance. Ce qui m’a permis d’y arriver, c’est la combinaison de deux choses.

La premiĂšre, c'est de vulgariser le discours pour ton interlocuteur. Je passe beaucoup de temps Ă  comprendre le quotidien de mes clients et je travaille des exemples concrets de la vie de tous les jours pour en parler Ă  mes prospects. En rendez-vous de dĂ©monstration, on me dit trĂšs souvent “Ah oui ça bien sĂ»r ! Je le vis au quotidien comme soucis”. C’est ma victoire.

La deuxiĂšme chose, c'est la structuration de l’agenda. J’ai acquis ça dans les grandes boĂźtes oĂč j'Ă©tais avant. C'est un bagage que je garderai et transmettrai toute ma vie. D’avoir des plages dĂ©diĂ©es au support client, Ă  la chasse, des jours pour les rendez-vous, d’apprendre Ă  prioriser les tĂąches, c’est le plus important. Je ne me laisse pas dĂ©passer par les Ă©vĂ©nements.

Plus tÎt, tu parlais de liberté et de responsabilités, peux-tu nous donner un exemple de cela ?

Je peux parler des salons professionnels. Quand je suis arrivĂ©, plus personne n’y croyait chez Locomotive. Vous aviez eu de mauvaises expĂ©riences et cela vous avez refroidi. Dans n’importe quel boite on m’aurait dit de rester dans Ă  ma place, mais chez Locomotive ça se passe autrement. On m’a demandĂ© comment je pouvais tester et prouver l’hypothĂšse.

Donc j’ai pris un petit salon pour montrer comment ça fonctionnait. On y est allĂ© Ă  deux et on a cartonnĂ©. Fort de ce succĂšs, on a allouĂ© un budget pour un plus gros salon. Au final, on a fait 3 salons professionnels sur l'annĂ©e et ça nous a rapportĂ© du business comme jamais. Ça nous a mĂȘme permis d'avancer sur les partenariats dans la profession. On m’a fait confiance et ça a payĂ©.

Notre discours est devenu crĂ©dible parce qu’on faisait partie de l’industrie. Et ça a drivĂ© la croissance des 6 derniers mois au-delĂ  de nos espĂ©rances. On a mĂȘme gagnĂ© sur un concours d’innovation. Tout le secteur parle de nous maintenant.

A qui conseilles-tu Locomotive ?

Je conseille Locomotive Ă  toutes les personnes qui ont une Ăąme d'entrepreneur. A contrario, je ne conseillerai pas Locomotive Ă  quelqu'un qui attend que tout soit posĂ© devant lui sur un plateau d'argent. Chez Locomotive, on veut des gens qui sont force de proposition. On te donne les outils et la connaissance mĂ©tier mais ça reste Ă  toi d’écrire l’histoire avec. C'est toi qui construis ta maniĂšre de rĂ©ussir.

Je conseille aussi Locomotive Ă  des gens qui ont l'Ăąme d'un entrepreneur mais qui n’ont jamais osĂ© se lancer. Ça permet de s’essayer au sujet avec le soutien d’une super Ă©quipe. Tu progresses en toute sĂ©curitĂ© et pourquoi pas un jour, lancer ta propre affaire.

Mais cette question du mindset entrepreneurial, c'est un discours qu'il y a dans beaucoup de boütes, non ? En tout cas en façade. Comment peux-tu dire que c’est le cas ici ?

C’est vrai, c’est un discours que tu entends partout. J’en sais quelque chose aprĂšs quasiment 40 entretiens sur la place Ă  Paris. Tu l'as en façade chez les autres, mais chez Locomotive c'est la rĂ©alitĂ©. Je te donne deux exemples.

Avant d'ĂȘtre chez Locomotive, je pensais avoir pas mal d'expĂ©rience. Quand je suis arrivĂ© ici, je me suis rendu compte que j'avais de l'expĂ©rience certes mais dans la vente surtout. Depuis 1 an, j'ai appris tellement de choses sur la crĂ©ation et la gestion d'un business.

Je n'avais jamais approchĂ© ces connaissances de gestion, mĂȘme de loin, dans les autres boĂźtes par lesquelles je suis passĂ© avant comme Doctolib et Philip Morris.

Dans ces boites classiques, on t'apprend ton travail de base, mais on ne t'apprend pas du tout ce qui se passe derriĂšre, comment fonctionnent les choses. Chez Locomotive, j’ai pu apprendre les questions financiĂšres, la stratĂ©gie, le positionnement marchĂ©. C’est gĂ©nial ! Le midi quand tu parles avec les dĂ©veloppeurs, ils t'expliquent l'architecture du produit, etc. C'est ultra-intĂ©ressant. Cette synergie qu'il y a du fait qu'on soit proches, mais aussi du fait qu'on soit dans l'Ă©change permanent, c'est enrichissant. Je n'ai jamais eu ça dans les boĂźtes prĂ©cĂ©dentes.

DeuxiĂšme exemple que je peux te donner, ce sont les ressources pour se former. Dans toutes les autres boites que j'ai faites avant, on te donne le premier jour un ou deux bouquins. Tu les lis en diagonale par-dessus la jambe et ce sont souvent les tops sellers edulcorĂ©s de la FNAC. “Merci, mais non merci” comme on dit.

Chez Locomotive, Ă  chaque Ă©tape de ma progression, on m'a proposĂ© des ressources ciblĂ©es. Comme c’était pertinent par rapport Ă  la situation, j’ai lu avec attention. Ça a m’a apportĂ© en pro et parfois mĂȘme en perso que ce soit des sujets spĂ©cifiques, techniques ou des problĂ©matiques plus gĂ©nĂ©rales. Ici, on fait attention que tu progresses toute la vie, pas seulement les 2 premiĂšres semaines.

Et si on a envie de gagner de l'argent, comment fait-on ?

Pour rĂ©sumer, on gagne trĂšs bien sa vie chez Locomotive. La paie n’est pas un sujet ici. Surtout que tu peux optimiser ce que tu gagnes parce que tu gĂšres toi-mĂȘme ton budget. Encore une fois, c’est quelque chose d’assez inĂ©dit sur la place.

La soupe est bonne ?

TrĂšs bonne (rires).

Le mot de la fin ?

Si tu as envie de gagner de l’argent et d'apprendre en t’amusant, viens chez Locomotive !